Ces mâles qui nous rendent folles

Je vous propose un nouveau rendez-vous: "Ces mâles qui nous rendent folles". Tous les mardis, un nouvel article où je vous parle d'un personnage masculin qui nous fait fondre. Cette semaine nous allons découvrir:

Vincent Delacroix

Saga Revenants d'Amy Plum

Quelques mots pour le décrire:

- Mystérieux
- Sexy
- Charmant
- Parfait

De quoi vous faire à nouveau craquer ^^

Des extraits pour vous mettre l'eau à la bouche :

Une interminable seconde s'écoula. Puis, dans un geste désespéré, j'agrippai son visage et l'attirai contre moi. Tandis que ses lèvres trouvaient les miennes, je me pendis à son cou. Déséquilibré, il trébucha et se rattrapa d'une main contre le mur. Je sentis les étagères contre mon dos et m'y appuyai pour mieux l'étreindre.

-Wow! s'exclama-t-il lorsqu'il parvint à se dégager.

Il recula, haletant, et me retint à bout de bras.

-Kate, je ne vais pas m'envoler, dit-il en feignant le reproche. Et pour être franc avec toi, c'est un peu risqué de m'attaquer dans ma propre chambre. C'est déloyal alors que mon lit est juste à côté.

Presque sonnée, j'avais du mal à me concentrer.

-Je t'avoue, ajouta-t-il en reprenant son souffle, que la tentation de t'y conduire est presque irrésistible.

- Viens, sortons d'ici avant que je ne change d'avis. Je te raccompagne.

Attrapant nos manteaux et mon sac, il me tint la porte.

- Je dois avouer que je m'en doutais un peu, ajouta-t-il.

- Tu te doutais de quoi ?

- Qu'une bête sauvage se cachait sous ces airs de petite fille modèle !

Je me mordis la lèvre et m'engouffrai, tête baissée, dans le couloir.

-Salut, Kate,lança une voix grave qui me fit bondir.

Vincent se tenait penché derrière moi. Il me dépassait d'une bonne tête.

-Merci pour la crise cardiaque, répliquai-je en posant une main tremblante sur ma poitrine.

-C'est une habitude, chez toi, d'oublier tes affaires pour amorcer une conversation?

Espiègle, il fit un signe de tête vers le banc, au pied duquel j'avais laissé mon sac en toile.

-Ce ne serait pas plus simple d'aborder les garçons et de dire "bonjour"?

Son ton presque moqueur dissipa mon embarras, aussitôt remplacé par une colère noire qui me surprit autant que lui.

-"Bonjour", grondai-je. Content?

Furieuse, je m'avançai jusqu'au banc, ramassai mon sac et quittai la pièce.

A la semaine prochaine avec un autre mâle très craquant